Nova Domo
Dans ce scénario, le contexte se renverse par l’image : en 2020, l’image optimiste est en faveur d’une planification urbaine ; en 2040, l’image devient un support de contrôle des populations. Ce projet est avant tout le constat de l’impact de l’image sur la société. Que ce soit sur les réseaux sociaux, le journal TV ou la presse, l’image y figure comme un médium essentiel de la communication de ces médias. Avec ce projet on se questionne sur une société au sein de laquelle la parole n’est plus, seule l’image est omniprésente. Les moyens pour mettre en place cette société sont donc drastiques mais simples.
Nova Domo commence dans une futur proche : en 2020. Les gouvernements ont choisi de mettre en place des cités de transition pour les migrants dans une Europe dépassée par les flux migratoires. Ces cités devaient permettre d’accueillir ces personnes dans un certain confort tout en minimisant les coûts engendrés par les infrastructures et différentes ressources nécessaires. Les cités Nova Domo de 2040 ne ressemblent en rien à ce qu’elles étaient supposées être. Les gouvernements les ont abandonnées pour ce qu’il semblait être une autre excuse politiquement acceptable. Ces cités vivent maintenant en autarcie ne se fiant qu’à elles-seules.
Informations liées au projet
Atelier complémentaire encadré par Gwenaëlle Bertrand & Maxime Favard. Le sujet : L’ANTHROPOCÈNE. Comment le designer peut-il engager les valeurs de préservation et de partage à l’âge de l’Homme ?